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Je veux que l’État reprenne en main l’évaluation de l’âge de ces personnes et l’organisation de leur retour. Leur place n’est pas en France, sauf pour les réfugiés. S’ils sont majeurs, ils seront renvoyés immédiatement. S’ils sont mineurs, ils seront remis à leurs parents ou pris en charge par leur pays d’origine. Nous financerons cet accueil avec l’aide au développement, plutôt que de payer une place à l’aide sociale à l’enfance en France, qui coûte 130€ par jour en moyenne aux Français.
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Etranger : créer une alliance méditerranéenne de contrôle de l’immigration pour empêcher les embarquements et sauver des vies. Les personnes interceptées ou sauvées dans les eaux internationales seront systématiquement remises aux autorités du pays de départ. Europe : interdire toute admission dans l’espace Schengen sans examen complet de la situation de la personne. France : préserver notre droit à contrôler les frontières intérieures et investir dans les outils numériques de surveillance.
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La Constitution sera révisée, dès l’automne 2022, pour lui permettre de fixer des quotas en fonction de nos besoins et de nos capacités d’accueil. Il ne peut pas y avoir un même traitement pour des immigrations qui ont chacune des motivations différentes (scolaires, familiales ou professionnelles). Je propose de faire porter l’essentiel de l’effort de réduction de l’immigration légale sur l’immigration familiale.
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Il est impératif de supprimer l’aide médicale d’État pour les adultes clandestins et de limiter leur prise en charge aux seuls soins urgents et vitaux. L’aide complète sera réservée aux enfants, car eux n’ont pas choisi la clandestinité.
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Si le pays d'origine des clandestins n'émet pas de visa de retour pour ses ressortissants, le visa d’entrée des nationaux et dirigeants du pays concerné sera refusé. Je n’hésiterai pas un instant à réduire voire supprimer l’aide au développement contre ces Etats récalcitrants, et à remettre à plat nos accords avec eux.