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Inscrite dans la loi, « l’admission exceptionnelle au séjour », est devenue une voie d’immigration courante, puisqu’elle bénéficie à plus de 30.000 clandestins chaque année. La régularisation est le moteur de l’immigration clandestine et une aubaine des passeurs et des trafiquants d’êtres humains. J’abrogerai la circulaire de régularisation de novembre 2012 et la loi posera une règle simple : plus aucun étranger entré illégalement en France ne pourra être régularisé.
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Nous devons reprendre en main notre politique migratoire. Je propose dès l’automne 2022 un référendum sur l’immigration. Chaque année le parlement devra fixer le nombre de personnes étrangères autorisées à entrer en France par exemple via l'instauration de quotas par métier. Je souhaite que le droit d’asile ne soit pas détourné et que quelqu’un qui n’a plus de titre quitte la France.
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Les titres de séjour seront délivrés prioritairement à ceux qui sont diplômés et formés, avec une expérience professionnelle, des attaches avec la France et un projet sérieux de vie. Nous vérifierons la capacité à s’intégrer de celui qui veut faire venir sa famille, ainsi que son casier judiciaire. Comme pour le RSA et l’allocation de solidarité aux personnes âgées (soumis à conditions), les aides au logement seront accordées à ceux qui sont durablement installés de façon légale sur notre sol.
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Je créerai une procédure d’intégration familiale unique en remplacement du regroupement familial des étrangers et du rapprochement des familles de Français. Pour entrer en France, l’étranger devra obtenir un « passeport républicain », délivré s’il réussit un examen attestant d’un niveau de maîtrise de la langue française, de sa connaissance et du respect de nos principes : la laïcité, l’égalité entre les hommes et les femmes, la primauté de la loi républicaine sur tout autre principe.
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Notre nombre de chômeurs actuel ne permet pas de délivrer, tous les ans, 40.000 titres et visas « travail ». Nous admettrons la main d’œuvre strictement indispensable pour faire fonctionner notre économie, en plus des « passeports talents ». Nous pourrons continuer à former les cadres dont les pays d’origine ont besoin, sous réserve qu’ils repartent bien à l’issue de leurs études, ou ceux dont la France a besoin, si leurs qualifications ne sont pas déjà disponibles sur le marché du travail.