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Les titres de séjour seront délivrés prioritairement à ceux qui sont diplômés et formés, avec une expérience professionnelle, des attaches avec la France et un projet sérieux de vie. Nous vérifierons la capacité à s’intégrer de celui qui veut faire venir sa famille, ainsi que son casier judiciaire. Comme pour le RSA et l’allocation de solidarité aux personnes âgées (soumis à conditions), les aides au logement seront accordées à ceux qui sont durablement installés de façon légale sur notre sol.
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Je veux que l’État reprenne en main l’évaluation de l’âge de ces personnes et l’organisation de leur retour. Leur place n’est pas en France, sauf pour les réfugiés. S’ils sont majeurs, ils seront renvoyés immédiatement. S’ils sont mineurs, ils seront remis à leurs parents ou pris en charge par leur pays d’origine. Nous financerons cet accueil avec l’aide au développement, plutôt que de payer une place à l’aide sociale à l’enfance en France, qui coûte 130€ par jour en moyenne aux Français.
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Notre nombre de chômeurs actuel ne permet pas de délivrer, tous les ans, 40.000 titres et visas « travail ». Nous admettrons la main d’œuvre strictement indispensable pour faire fonctionner notre économie, en plus des « passeports talents ». Nous pourrons continuer à former les cadres dont les pays d’origine ont besoin, sous réserve qu’ils repartent bien à l’issue de leurs études, ou ceux dont la France a besoin, si leurs qualifications ne sont pas déjà disponibles sur le marché du travail.
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Les personnes qui vivent dans ces campements comme ceux qui vivent à proximité sont les victimes de cette situation autant indigne qu’insupportable. Pour en finir avec ces conditions de vie qui sont indignes avant la fin de l’été 2022, la situation de ces migrants sera examinée par des équipes dédiées. Un retour volontaire sera proposé à ceux qui n’en ont jamais bénéficié. En cas de refus, ils devront quitter le territoire français
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Pour lever les obstacles juridiques de la reconduite effective : tout étranger, même un réfugié, sera expulsé s’il constitue une menace grave pour la société, quels que soient les risques qu’il encourt dans son pays. Quand on agresse ceux qui vous accueillent, on assume les conséquences de ses actes. Là encore, la Constitution sera révisée pour le garantir.
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Pour mettre un terme à la possibilité pour un étranger de « jouer la montre » en demandant successivement des titres différents, chaque demande devra énumérer tous les titres de séjour auxquels il estime avoir droit, et le juge examinera son droit au séjour au jour de son jugement, en une seule fois. En cas de rejet, l’éloignement sera systématique.